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Le Tip tOp
Copacabana :
Un bon café! enfin!! tout est fait maison. Parfait pour un pdj!
La Paz :
Super ambiance, super accueil mais surtout, super cuisne! je conseille les pâtes bolognaise au lama ;) Luna's café.
100% Natural , pour un excellent jus et un bon sandwich frais.
Sucre :
Très joli hostel, bon pdj, eau chaude et wifi : Hostel Cruz de Popayan
Mêmes services (moins cher) et un super accueil au B&B Santa Cecilia!
The restaurant de ouf! le meilleur de toute la Bolivie : Le Florin
Je conseille le poulet Tandoori et le Chiken Pai Thaï. Pas local mais Une tuerie.
Uyuni :
Hotel Inti : personnel souriant et très gentil. Internet payant.
5h de bus plus tard nous voilà à la 1ère frontière : sortie de la Bolivie. Le tampon est super facile et rapide à avoir. En 2 min, tout le bus était de retour. Sauf que ça serait trop simple ! On ne sait pas trop pourquoi, mais le bus a stationné devant cette fichue barrière chilienne pendant 2 heures !
Enfin, on repart. 30min plus tard, deuxième stop... Entrée / contrôle du Chili. Étape n°1 : se rendre au bureau avec son joli passeport et son plus beau sourire (Lilie : ton décolleté sera parfait) , on se range en file indienne, dans l'ordre des places du bus ! Très scolaire. Les douaniers chiliens, c'est pas des rigolos ! Ils ont refoulé 2 boliviens. Parce qu'ils sont boliviens. Voilà.
Étape n°2 : vider le bus ! Récupérer toutes ses affaires, y compris son gros bagage dans la soute. Attendre patiemment que du côté chilien, tout soit prêt et ensuite, refile indienne et vérification des sacs/marchandises un par un... ça dure 2h quoi ! Enfin direction Calama. 3H supplémentaires. Je suis agréablement surpris par ma capacité à rester calme dis donc !
Calama ! Halleluja ! Ville minière. Chère. Absolument pas touristique. Rien à y voir finalement. On y croise quand même des Ford Mustang, Chevrolet Camaro... Le cuivre : ça rapporte ! On y restera 2 jours parce que le budget souffre un peu. Hop hop hop ! Une promotion à Tur Bus et nous voilà en route pour Chanaral : bord de plage. 9H00 de bus. Ha oui ! La promotion c'était voyager en Business Class pour un prix dérisoir. Ben on nous le dit pas 2 fois !! le siège = un lit ! Service à bord ! Télé perso.... Mais ou est le champagne les gars ?!*
Chanaral... mouai. Bof. De plus, l'hiver commence à nous rattraper. Jusque la, Marcel le Soleil était de la partie. On nous explique que le parc national du coin : Pan de Azucar n'est pas très beau à visiter à cette période. Au réveil, on décide de partir pour Caldera. C'est ça la liberté ! On a loupé le bus... On fait du stop. Au Chili, c'est simple : il n'y a qu'un route : la Panaméricana, qui va soit au nord, soit au sud ! En 5 min notre pouce croise un camping-car ! A l'intérieur, 2 électriciens trop sympas qui partent pour Santiago. 1H30 de route et du troc de cookies / cigarettes, on débarque à Caldera.
Toujours en bord de mer, et toujours ces nuages !! On y reste 3 jours le temps de cuisiner un gâteau au chocolat, des œufs ratés de Laety (je ne pensais qu'il était possible de foirer des œufs... Bref.)
Il paraît qu'à La Serena, il fait beau... Ben on y va ! 6H de bus et là... soleil, mer, mall, Mcdo... La grande ville quoi ! On trouve un hostal familale & charmant !
On se baladant, nous réalisons avec Laety, qu'il y à peine une semaine, nous étions en Bolivie. Ben ce n'est pas la même planète ! A titre d'exemple, La Bolivie doit être un des rares pays où McDonald n'existe pas. Ce qui n'est peut être pas un mal... Une semaine plus tôt, nous étions sans eau chaude, ni électricité. Aujourd'hui, on se promène dans des centres commerciaux à l'américaine. Particulier.
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Le Tip tOp
Transports en commun :
Tur Bus
Pullman
Caldera :
Hostal Aji Rojo : plutôt un B&B - tout neuf, tout beau et la proprio Dominica est un ange! cuisine, salon à dispo. Pas internet.
Hostal Akana : plutôt calme, cuisine dispo, perso aimable mais pas très propre.
La Serena :
Hostal El Arbol : Le meilleur depuis le début du voyage. Pas cher, propre, cuisine à dispo, de quoi faire un feu l'hiver, salon, patio avec barbeuc'... tout est là : on se sent comme à la maison!
Valparaiso :
Super hostal, décoré comme dans un bateau et bien situé : La Maison De La Mer. Anciennement un foyer des marins tenu par M. Bernard : un normand!
Un excellent restaurant pour son plat unique : Chorrillada, son ambiance musicale en vivo, la déco et son prix : Casino Social J. Cruz
Santiago :
Un musée très intéressant. A ne pas râter : Muséo de la Memoria y los Derechos Humanos.
Un café / resto sympa : The Clinic Bar.
C'est le nom d'un journal satyrique au Chili. Il est decoré avec des scènes de la vie politique revisitées à la façon du canard enchainé.
1. melulilie le 25-06-2013 à 11:04:28
ahahahha je note d'emporter quand même une tenue debraillée alors
aaaaaaaaaaaaaaaah mais j'ai troooop hate !!! skype ! skype skype !!!!
Après presque une semaine de chômage intensif à la Serena, on se remue pour Valparaiso. Nous logeons à La Maison de la Mer, hostal trouvé sur le site "booking". C'est un hostal et foyer de marins aussi! L'économie de la ville étant centrée sur le port : il y a des écoles pour former les marins. Donc depuis 25 ans, Bernard, le propriétaire français, les accueille dans cette immense maison.
Pour notre dernier jour, on a eu le droit à des crêpes (normandes, précisons-le) pour le petit déjeuner. Et toc!
Nous partons à la découverte de Valparaiso, ville dit-on "bohême". En tout cas, colorée! Construite sur des collines, alors ça grimpe sec! Donc il y a des funiculaires en ville (comme à Montmartre) Et ça, on aime bien! On y visite la maison architecturale : La Sebastiana, avec une vue de dingue sur tout la ville et la mer du célèbre poète : Pablo Neruda.
Après l'effort funiculaire, un bon restaurant s'impose! Bernard nous conseille le Casino Social J. Cruz.
On arrive à la dite adresse... le resto y est caché tout au fond de cette rue étroite, sale, sombre, les murs tagués... un coupe gorge! Mais bon, c'est le lieu à ne râter sous aucun prétexte.
La, une file d'attente! que de locaux. Bon signe. En fait, ces murs tagués, ceux sont des mots laissés par les clients!! On laisse notre trace aussi du coup. Nous voilà rentrés dans le temple du kitcsh : des biblots de partout, des photos de clients épinglés partout aussi! toujours ces mots... sur les nappes en plastiques et les vitres, et les portes... whoua!! c'est le bo-rdel! l'accueil est plus que chaleureux.
A peine rentrés que l'on peut sentir l'atmosphère rustique, familiale et musicale. C'est incontournable! Un système de plat unique : la Chorrillada : frites maison bien huileuses nappées d'oignons et d'oeufs brouillés et de boeuf. Le paradis du goinfre!
Gras mais très bon!
Après une crêpe au calvas pour le petit déjeuner, en route pour Santiago. Capitale du Chili. On loge dans un super appart'/hotel : le luxe pour ces 3 derniers jours au "Chili" !
Nous allons visiter ce musée récent (2010) : le musée de la Mémoire et des Droits de l’homme. Un musée impressionnant pour des souvenirs douloureux.
Un tel musée est vraiment important pour ne pas oublier...
Le musée raconte de façon interactive l'histoire de la dictature de Pinochet responsable de la disparition et de l’assassinat de 2 300 personnes et de la torture de 27 000 autres de 1973 à 1990. Cela nous rapelle notre propre passé avec le Nazisme. Au Chili, leur histoire est encore plus ressente et surtout interne à leur propre pays, les bourreaux et victimes doivent aujourd'hui cohabiter. Vous l'aurez compris nous avons adoré ce musée.
Le Terremoto est très connu au Chili. Cela signifie "tremblement de terre". Mais c’est surtout un cocktail à base de liqueur de vin blanc (de très mauvaise qualité sinon ce ne serait pas drôle) , de fernet et de glace à l’ananas. N’importe qui au Chili vous dira que ce cocktail est un vrai danger, en boire un par curiosité, deux c’est une expérience et trois un suicide.
Sur les conseils de M. Richard Magué, nous nous rendons à « La Piojera », le bar de Santiago où ce cocktail à été inventé. Ambiance locale voire un peu... sauvage. Ils sont tous bourrés!! L'aventure commence...
Le soir on retrouve Hanane, une copine rencontrée aux Etats Unis qui vit à Santiago. Petite soirée sympa, ça fait du bien de parler Français.
En avant pour l'île de pâques... dernière page du chapitre Amérique du Sud.
Nos 4 mois de voyage en Amérique du Sud se terminent en beauté avec l'île de Pâques en guise de dernier chapitre. En plus d'être l'île la plus isolée de la planète, l’île est chargée d’histoires, de légendes.
Après 6h de vol depuis Santiago du Chili nous arrivons enfin.
Pendant l’atterrissage, nous nous sommes demandés si s'était bien la bonne île : elle est tellement petite ! à peine 16km de long. En sortant de l'avion, il fait bon, et ça fait du bien après les 2 derniers mois d'hiver passés en Amérique du sud. En plus, on nous attendait avec des colliers de fleurs...
Nous avons choisi une super pension tenue par Steeve & Ana, un Français et une Rapa Nui (originaire de l’île de pâques). Baguette, crêpes et Po'é (spécialités Rapa Nui à base de banane) pour le petit dèj.
Le temps d'une journée, nous prenons un guide français, Richard, habitant sur l'île depuis 30 ans. Instructif et magique. François était comme un gamin à poser des questions toutes les 5 min et essayant de résoudre les mystères de l’île à lui tout seul. L’île de Pâques est un véritable musée à ciel ouvert. Les statuts Moai sont omniprésentes, certaines mesurant jusqu'à 15m. Toutes regardant vers l’intérieure de l’île, elles avaient pour but de protéger le village qui vivait sous leurs yeux.
On a vraiment l'impression qu'elles protègent encore les habitants. D'ailleurs pourquoi sommes nous là ? si ce n'est pour les voir. Sans ces statuts, l’île ne serait qu'un joli cailloux perdu au milieu du pacifique, et n'attirait pas des voyageurs du monde entier. Nous ressentons vraiment que l’île se développe dans un but historique et de conservation, loin du tourisme de masse et des grosses constructions hôtelières.
Les paysages sont magnifiques et uniques. Ça ne ressemble à rien de ce que l'on pourrait connaître. Verdoyant comme l'Irlande, les chevaux sauvages ayant remplacé les moutons , avec la mer agitée. Tropicale, avec des cocotiers et une plage à l'eau transparente...un avant goût de Moorea, François s'y est même baigné !
On ne va pas commencer à raconter toute l'histoire de l'île. Ça prendrait 5 articles ! Et puis selon les avis, les versions diffèrent, peu de certitudes sur l’île...
Autant pour les paysages, que l'histoire, les gens, la culture, l'accueil... cela restera un moment de notre voyage inoubliable.
Les enfants : on a chercher les œufs en chocolat, mais pas de Kinder Maxi dans les parages... Le lapin de pâques devait être en vacances.
Nous quitterons cette île le Lundi soir sur le seul vol de la semaine qui la quitte pour Tahiti. Nous enchaînons les rêves éveillés...
Guide français : Richard Gallois. Explications complètes et guide très intéressant.
Résidencia : Chez Steeve. Service parfait. Petit déjeuner copieux et divers.
Iorana !
Enfin Tahiti ! Plus précisément : la merveilleuse île de Moorea.
Au programme : se faire dorer comme un toast et chercher Némo dans le lagon.
Nous sommes arrivés de nuit de l’île de pâques. Nous avions réservé une pension sur Papeete. Lorsque nous arrivons à ladite pension, la lumière était allumée mais personne l’intérieur! A force de crier « y'a quelqu’un ?? » le voisin finira par venir voir ce qui se passe et nous informer que la proprio n'est pas la, qu'on à qu'a choisir une chambre et faire comme chez nous. OK.
Nous quitterons la pension le lendemain matin comme nous sommes arrivés, seuls. Original...
Debout de bonne heure pour prendre le bus, direction Carrefour pour faire quelques provisions puisque nous avons une cuisine dans notre bungalow. On favorise Papeete parce que sur Moorea, tout est plus cher ! Ouai, au paradis on taxe !!
Seul inconvénient : se trimbaler 30kg de courses + nos gros sacs à dos + nos petits sacs à dos... prendre le bus puis le ferry puis encore un bus. Tout ça, sous un soleil de plomb. L'arrivée est un vrai soulagement !
Notre hôtel se compose de fares, autrement dit : de petits bungalows typiquement Polynésien, dans un jardin luxuriant, avec une jolie piscine en forme d'hibiscus et d'une magnifique plage.
Si nous ne sommes pas au paradis, nous nous en rapprochons...
Après 3 jours de bronzage intensif et d'entraînement snorkling dans la « mer couleur piscine » on se décide pour allé faire un petit tour de bateau : une journée à chercher les baleines et dauphins dans le grand bleu. La saison des baleines commence à peine : juillet à novembre. Autour de nous, on dit qu'il y a peu de chances de les voir...
Non seulement, on les a vu, mais nous avons nagé à leurs côtés. De nature craintive, j'ai franchement hésité à y aller. C'est tellement énorme ! Et nager dans le grand bleu, sans combi et sans voir ce qu'il y a dessous, j'avais un peu la frousse...
Masque, tuba et palmes aux pied, je me suis finalement jetée à l'eau!
Des dauphins sauvages ouvrant la route à maman baleine et son baleineau. Nous sommes à quelques mètres. Calme et majestueux.
En route pour un autre spot pour allé voir des raies et des requins pointe noire.
Sur le bateau, ça tangue. François est vert et, j'avoue ne pas être au top non plus. Mais le skipper voit une autre baleine ! Un mâle cette fois. Un « chanteur » dit il! Une baleine mâle recherchant à s'accoupler émet un bruit, elle chante quoi ! Selon François, ça ressemble à un grincement de porte. La baleine reste au fond, on l'aperçoit tellement l'eau est claire. Au bout d'une dizaine de minutes, elle remonte ! Et passe juste en face de nous. Quel spectacle ! Nous sommes si petits à côté d'elle ! ... ça nous remet à notre place.
Bon cette fois ci, on part pour voir les raies et les requins. Dans l'eau on aperçoit une trentaine de raies et de requins. Suffisamment pour me mettre mal à l'aise. François se met à l'eau le premier. On a pied. Ça me rassure. Après 10 secondes d'hésitation, je le rejoint. Whoua ! Il y a des raies partout autour de nous !! et pas des petites ! Premier contact : c'est trop doux !! et très curieux, elles viennent carrément se frotter sur nous ! Je suis morte de rire ! Bon, passons au choses sérieuses : les requins maintenant. Même pas peur ! Ils ne sont pas si effrayants que ça finalement. Le plus grand doit mesurer 2 mètres. Et se sont des bêtes ultra peureuses ! Même avec un bout de sardine entre les doigts, pas facile de nager près d'eux. Plongés dans un aquarium géant était vraiment un moment inoubliable.
Nous louerons un scooter quelques jours pour profiter des beautés de l’île, nous réalisons à chaque instant passé ici, la chance que nous avons de pouvoir voir toutes ces merveilles.
Dans Quelques jours, changement de décors (et de température) : Nouvelle – Zélande, en plein hiver.
Nana ! (au revoir)
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Le Tip tOp
Moorea tour boat :une journée bateau au top accompagnés d'une équipe pro et sympatique!
hôtel hibiscus : 2 étoiles, bungalows Sympas et typiques. On conseille le n°9 : pour le prix et la vue.
Snack mahana : pour une cuisine locale et délicieuse et pas chère!! Le mahi-mahi et la glace à la fleur de tiaré sont à tomber!
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